La Femme est un groupe français nourri au biberon d’une new wave totalement vintage. En seulement trois ans, ils troquent leur place de 1ère partie contre celle de tête d’affiche du Festival Pantiero 2014. Marlon Magnée, le co-fondateur du groupe répond à nos questions:
On fait du rock éléctro bizarre !
Pourquoi La Femme comme nom de groupe ?
Je ne sais pas, on le dit pas trop. La Femme est mystérieuse … (rires)
Quelles sont les influences musicales qui vous ont amené à créer La Femme ?
On a été influencé surtout par la musique Sixties française et étrangère ainsi que par la Cold wave des années 80.
Concernant les performances scéniques, vous êtes complètement déjantés sur scène. Est-ce un réel besoin pour votre musique ou plutôt une simple envie de folie ?
Un peu des deux.
Vous avez des projets en vue ? Un petit album ?
Un gros album oui ! (rires)
Le style de l’album va t-il changer par rapport au précèdent ?
Oui et non, ça va aller dans toutes les directions ! Plus hard, plus sweet, plus psyché, plus pop. Tous les cotés de La Femme vont être exagérés.
Aujourd’hui pensez-vous qu’internet a été un tremplin pour votre musique ?
Oui, beaucoup. Ça a facilité des trucs, on a pu beaucoup plus faire ça par nous même.
Petite question personnelle : Avez vous des phrases, des mots qui reviennent souvent en studio ?
Oui, « Comme dans les Sixties » ou « Like in the Sixties ».
Petite anecdote qui s’est passée à Rock en Seine l’an dernier. Pendant la chanson « Sur la planche » vous avez pris une planche de surf et vous avez surfé sur les gens. Comment en êtes vous venus à ça ?
Dés le premier concert, on voulait déjà faire ça parce qu’on jouait à un festival de surf mais ça ne s’était pas fait. On s’est retrouvé à Rock en Seine et on s’est dit qu’il fallait le faire.
Dans le groupe il n’y a jamais eu de difficultés, de désaccords ?
Non, on s’entend bien.
Au niveau des textes, il y en a un qui écrit et les autres qui donnent leur avis?
C’est Sacha et moi qui faisons la musique. Tout le monde ne donnent pas vraiment leur avis. On enregistre la musique en studio, après on appelle les chanteuses et ensuite on joue les morceaux en live. Pour les versions live on fait au mieux pour que ce soit plus ouf ! A ce moment là, on travaille avec tout le monde et on modifie la structure des morceaux.
Propos recueillis par Hugo Jagnoux